En tant qu’entreprise d’accompagnement et de conseil, Ex’Up Consulting est la bonne alliée pour aider les entreprises du secteur nucléaire à faire face au défi de la compétitivité. Avec plus de 20 ans d’expérience en amélioration des entreprises, nous travaillons avec des méthodes reconnues, et utilisées par les plus grandes entreprises du monde. Nous sommes ainsi experts en Lean management, 6-Sigma, Agilité ou encore HOSHIN.

 

Pour améliorer leur compétitivité, les entreprises du secteur nucléaire devront travailler sur trois axes : les délais, la qualité et les coûts. Voici, détaillé ci-dessous, nos réponses à chacun de ces défis.

Amélioration des délais dans le secteur nucléaire

Pour améliorer ses délais, il sera nécessaire à l’entreprise d’optimiser ses flux d’informations et de produits par le Lean. Le Lean, de l’anglais « maigre », est une méthode de gestion d’entreprise visant à éliminer tout le superflu, de manière à tirer le meilleur parti des différentes ressources de l’entreprise, qu’il s’agisse de capitaux, de matières premières, de main d’œuvre, de locaux ou de temps. En optimisant ainsi les processus, le Lean va avoir de nombreux avantages, et notamment celui de réduire les délais. En effet, le Lean management va chercher à lisser au maximum les flux, en identifiant dans un premier temps, puis en éliminant méthodiquement tous les procédés superflus.

Mais attention : si le Lean fait la chasse au gaspillage, il ne doit jamais se faire au détriment de la qualité. Bien au contraire, le Lean va chercher à augmenter le curseur de la qualité, si essentiel dans le secteur nucléaire, tout en abaissant celui des délais.

 

Nous utilisons une autre méthode de gestion de projet qui a fait ses preuves quand il s’agit de réduire les délais des entreprises travaillant dans le secteur nucléaire : la méthode Agile. Elle permet notamment d’améliorer les flux en R&D et industrialisation, mais pas seulement. Son concept est simple, mais terriblement efficace : il s’agit de décomposer un projet ou un objectif en plusieurs briques simples, représentant autant de tâches plus petites. Ce faisant, l’approche Agile tend à encourager la collaboration entre les différentes équipes qui interviennent dans le projet. Plus encore, la méthode Agile s’inscrit dans une volonté d’amélioration continue de l’entreprise, à savoir un renouvellement constant, de manière à se maintenir en haut de son marché. Cette approche cyclique, plutôt que linéaire, est absolument essentielle pour permettre à une entreprise du secteur du nucléaire faire face au défi de la compétitivité.

 

Enfin, la méthode des 3P (Process, Product, People), sera, elle aussi, particulièrement salvatrice, dans le cadre d’une amélioration de la compétitivité dans le secteur du nucléaire. Cette méthodologie consiste à réunir tous les acteurs d’un projet :

  • Opérateurs (acteurs de production, techniciens, etc.),
  • Concepteurs produits,
  • Fabricants de la ligne et prototypistes.

En réunissant ces acteurs cruciaux à différentes étapes de la production, on pourra, grâce à la méthode des 3P, concevoir le prototype d’un processus de production. Celui-ci agira comme un véritable cahier des charges, en permettant à tous les acteurs de visualiser concrètement tous les outils de production, les équipes et les opérations nécessaires. Ce prototype permettra ainsi de visualiser le projet de manière limpide avant même son commencement, et pourra donc éviter d’effectuer un quelconque gaspillage, permettant donc de s’inscrire dans une approche Lean, et donc de réduire ses délais tout en améliorant sa qualité.

Amélioration de la qualité dans le secteur nucléaire

 

Comme évoqué précédemment, la méthode Lean elle-même avance dans le sens d’une recherche de qualité. Pour autant, chez Ex’Up Consulting, nous mettons d’autres méthodes en place pour aider les entreprises du secteur nucléaire à améliorer leur qualité dès la conception, de manière à se maintenir au sommet de leur marché. Ainsi, nous utilisons la méthode Design for 6 Sigma, autrement appelée DFSS. Elle permet de mettre les principes du Six Sigma au service d’opérations industrielles. Le DFSS va alors permettre à l’entreprise d’atteindre une véritable maîtrise des procédés, dès la conception.

 

Une fois cette maîtrise atteinte, on va rechercher une qualification des procédés, à travers des outils statistiques. En d’autres termes, il s’agit de prendre des mesures statistiques des différentes opérations de l’entreprise nucléaire, dans le but de s’assurer que chacune d’elles génère réellement de la qualité. On va alors faire appel à des outils statistiques tels que le Statistical Process Control ou SPC, la méthode statistique de validation de process, et le 6 Sigma lui-même.

En phase de développement, on va également utiliser des outils de tolérancement inertiel. Cela permet de produire, des assemblages mécaniques, avec un jeu idéal.

 

Pour s’assurer de la qualité des différents procédés, dans le secteur nucléaire, on peut également effectuer des contrôles par échantillonnage statistique. Toute la difficulté résidera alors dans le fait de trouver la bonne taille de prélèvement et la bonne fréquence pour valider une production, un fournisseur, ou un lot, tout en maîtrisant les risques de non-conformés.

 

Un autre concept particulièrement pertinent dans le cadre du nucléaire sera celui du machine learning. Il s’agit d’une démarche par laquelle les machines, ici, celles qui alimentent l’industrie nucléaire, apprennent par elles-mêmes. Ex’Up Consulting accompagne alors ses clients dans la mise en place de cette méthode offrant plus d’autonomie aux machines, et leur permettant même de prédire des besoins à partir de données.

 

Enfin, malgré toutes ces précautions, n’importe quelle entreprise du secteur nucléaire vous le dira : les erreurs peuvent arriver, et générer de la non-qualité. C’est pour cela qu’il est essentiel de mettre en place une démarche 8D, pour 8 Disciplines. Cette méthode très complète permet de mettre en place un protocole complet et systématique, de manière à identifier, puis éliminer les sources de non-qualité. Elle permet ainsi de réagir rapidement en cas de problème, mais aussi d’en éliminer les causes racines, et donc d’éliminer l’apparition de problèmes en tous genres. Dans le secteur nucléaire, cette méthode sera particulièrement utile également pour répondre à chaque écart.

 

La méthode DMAIC, quant à elle, permettra une amélioration conséquente de la qualité. Elle permet en effet de systématiser la résolution de problème en passant par plusieurs étapes :

  • Définir le problème,
  • Mesurer le problème à l’aide de données,
  • Analyser les causes racine,
  • Améliorer, ou en anglais improve,
  • Contrôler, ou plutôt, maîtriser, de manière à empêcher la réapparition du problème.

La réduction des coûts

 

Il ne s’agit pas de travailler frontalement à réduire les coûts, ce qui pourrait entraîner de la non-qualité. Bien au contraire, la réduction des coûts sera une conséquence naturelle de la réduction des délais et de la recherche de qualité. En effet, en réduisant les délais, on va forcément agir également sur les encours et la trésorerie. Le Lean management, par exemple, qui est une chasse au gaspillage, va permettre d’éliminer toutes les opérations superflues, et donc non seulement les pertes de temps, mais aussi d’argent.